CESÁRIA ÉVORA

d’Ana Sofia Fonseca
Documentaire, 2023, Portugal, 1h34, avant-première
Cesária Évora, artiste de renommée mondiale se voit consacrer un nouveau documentaire intime. Avec des images inédites et des aperçus de la vie de la chanteuse, le film retrace les luttes et le succès de la “Diva aux pieds nus”. De la pauvreté à la célébrité, pour Césảria Ếvora il n’y a qu’une voie : la liberté.

VIVER MAL

de João Canijo
Drame, 2023, Portugal, 2h04, avant-première
Dans un hôtel de la côte nord du Portugal, plusieurs familles de touristes se prélassent autour de la piscine, pendant que la famille des propriétaires se déchire. Les tensions semblent peu à peu toucher tous les résidents.

SURO

de Mikel Gurrea
Drame, 2022, Espagne, 1h57
Elena et Ivan s’apprêtent à entrer dans une nouvelle phase de leur vie. Ils quittent la métropole de Barcelone pour s’installer dans la campagne de Catalogne où ils reprennent une plantation de chêne-liège. Le commerce du liège devra non seulement leur permettre d’assurer leur existence mais ils comptent également exploiter la plantation de manière équitable et durable. Malgré leurs idéaux, Elena et Ivan doivent faire face à la dure réalité et se retrouveront bientôt dans une crise qui mettra non seulement en danger leur projet commun, mais aussi leur relation.

LA VIE DE MA MÈRE

de Julien Carpentier
Comédie dramatique, 2023, France, 1h43, avant-première
Pierre, 33 ans, fleuriste à succès, voit sa vie basculer lorsque sa mère, Judith, fantasque et excessive, débarque dans sa vie après deux ans sans se voir. Pierre n’a qu’une idée, reprendre le cours normal de sa vie, mais rien ne se passe comme prévu. Leurs retrouvailles, aussi inattendues qu’explosives, vont transformer Pierre et Judith à jamais.

LA MÈRE DE TOUS LES MENSONGES

d’Asmae El Moudir
Documentaire, 2023, Maroc, Egypte, Arabie Saoudite, 1h37, avant-première
Asmae, jeune réalisatrice marocaine, se rend chez ses parents à Casablanca pour les aider à déménager. Une fois dans la maison de son enfance, elle commence à trier ses vieilles affaires. Soudain, Asmae tombe sur une photo : des enfants qui sourient dans la cour d’une école maternelle. Presque hors-cadre se trouve une petite fille assise sur un banc, qui regarde timidement l’appareil-photo. Cette photo est l’unique image de son enfance, l’unique souvenir que sa mère a pu lui transmettre. Mais Asmae est convaincue qu’elle n’est pas l’enfant sur cette image. Dans le but de faire parler ses parents, Asmae introduit sa caméra et joue avec cet incident intime pour évoquer d’autres souvenirs auxquels elle ne croit pas non plus. Cette photo devient le point de départ d’une investigation durant laquelle la réalisatrice interroge tous les petits mensonges que lui a dits sa famille. Petit à petit, Asmae explore la mémoire de son quartier et de son pays.