LES LUCIOLES

de Loïs Angilella, Léa Faynel, Ambre Fournier, Clémentine Gabard, Hannah Gozlan, Claire Represa, Emilie Richard, Mathieu Staropoli et Maïa Xueref
Fiction, 2024, France, 6 min
Dans les années 20, des ouvrières peignent dans une usine des cadrans de montre phosphorescents. Mollie, la nouvelle, commet une erreur qui entraîne sa rangée à rester travailler avec elle la nuit. Alors privées du bal auquel elles devaient aller, elles finissent par improviser leur bal dans l’usine…

UMA MAE VAI À PRAIA

de Pedro Hasrouny
Fiction, 2024, Portugal, 15 min
Teresa, a single mother spends a day at the beach with her six-year-old son, Benji and her sister Marga, who is back to Portugal for a summer vacation. The day becomes very stressful with her sister’s constant speech about her son’s achievements and her criticisms towards Benji.

AMOR.E

de Kodjo Loba
Documentaire, 2024, Maroc, 8 min
Entre 2013 et 2016, Analidia et Gigio, un couple d’Italiens, ont échangé des messages remplis de complicité et de passion. En 2024, lors d’une balade dans un marché aux puces à Marrakech, je tombe sur le vieux téléphone de Gigio. Par curiosité, je l’achète et je commence à lire les messages laissés par Analidia. Au fil de ma lecture, une vague de nostalgie m’envahit, ravivant des souvenirs d’un amour passé, le tout nourri par mes vidéos d’archive qui mêlent émotion et réflexion.

ELLE M’A DIT

de Charlie Blanchard
Fiction, 2024, France, 9 min
Qu’est-ce que le moment de la naissance, dont personne ne se souvient vraiment? Aidée d’archives et de mes propres images, j’explore…

SCARABÉE D’OR

de Leïla Férault-Lévy
Documentaire, 2025, France, 1h44
Pour la première fois, Wajdi Mouawad se laisse filmer au plus près pendant son travail de création : de l’écriture, au dessin, aux répétitions. La fabrication de sa pièce, Mère, est gagnée par la fièvre des improvisations, les allers-retours avec l’équipe, toujours guidée par le jaillissement créatif de son auteur. S’entremêlent ses travaux parallèles : le dessin dans l’intimité de son bureau, ses pérégrinations dans les bois, au petit matin, muni d’un appareil photo. De cet état intime de création surgit parfois une parole qui nous est adressée. À la source, l’obsession de la guerre civile et de l’exil ; traumatismes de l’enfance. Ces « excréments de la société » le nourrissent, tel le scarabée, pour en faire surgir la beauté.